Rappelant que "les productions sémiotiques d'une personne sont sujettes à l'historicité dans l'articulation de leur signification à des fins sociales et culturelles", il affirme que le Coran est lui-même sujet à l'historicité. Et il reconnaît n'être pas "très éloigné de postuler l'impensable : le divin est lui-même sujet à l'historicité".