Elle ne pouvait davantage trouver de consolation en écrivant, car le chagrin, souvent, produit l’une de ces deux choses, soit qu’il élargisse les sources d’inspiration, soit qu’il les dessèche complètement et, dans le cas de Stephen, c’est la dernière qui était survenue. Elle soupirait après la réconfortante et libre émission des mots, mais les mots, à présent, la fuyaient.