Leurs propriétaires les entretiennent, les peignent, les parfument, les habillent: comme s'ils étaient leurs maquereaux. Beaucoup deviennent vicieuses avec leurs petits chiens et les préfèrent aux hommes, c'est ce que j'entendais les prisonniers de Carabanchel dire dans leurs conversations cochonnes. Ils assuraient que leurs langues étaient plus douces, et surtout, qu'ils avaient plus de constance dans la tâche, et bien sûr plus de docilité que celle des maris ou des amants.
Texte original:Sus duenas los mantienen, los peinan, los perfuman, los visten: como si fueran sus "maquereaux". Muchas se envician con los perritos y los prefieren a los hombres, les oia decir a los presos de Carabachel en algunas de las conversaciones guarras que mantenian. Aseguran que sus lenguas son mas suaves, y sobre todo, revelan mayor constancia en la tarea, y desde luego mas docilidad que la de amantes y maridos.