Valur Róbertsson était assis au café Mokka avec le journal de la semaine. Tout juste sorti de l’imprimerie, le papier exhalait encore cette délicieuse odeur d’encre, mêlée au parfum de café fraîchement moulu. Il n’y avait pas foule, seuls quelques habitués qu’il connaissait de vue, mais il ne cherchait pas
particulièrement de compagnie.