Je ne sais même pas comment il est possible que les collégiens se lèvent dans les chambres grises à l'odeur de froid. Qui les encourage, ces petits squelettes pressés, pour qu'il se précipitent, dehors, dans la ville adulte, dans cette fin trouble de la nuit, dans ce jour de classe éternel, toujours petits, toujours remplis de pressentiments, toujours en retard.