Le despotisme des circuits financiers et le dédain que ces fonctionnaires formatés affichent pour la survie de la planète et de ses habitants montrent assez à quel point les démocraties consuméristes sécrétaient, sous la bonhomie hédoniste et la publicité humanitaire, ce mépris de l'humain cyniquement claironné, maintenant que les affaires sont les affaires et qu'il n'y a plus à ménager quiconque ne danse pas en rond avec elles.