Villon reste perplexe. Et peu inspiré. Il a toujours écrit dans le vacarme des tavernes, cadencé ses vers sur les beuglements des buveurs, les rires d'enfants, les bruits de la rue, les blagues que se lancent les charretiers. C'est dans ce tintamarre qu'il a trouvé ses mots, puisé ses musiques, composé sa rengaine.