Les mots évoquent mal les choses, n’ont pas de souplesse. Ils se veulent trop exacts. Alors que le crayon glisse sur la feuille en pleine liberté. Sans rime, ni raison. S’adressant à l’âme plus que toute palabre, l’adjurant mieux que toute prière. Lui exposant son propos dès le premier coup d’œil plutôt que de l’entraîner dans un dédale de conjectures et de postulats.