« Les maisons sont comme les personnes, lorsqu’elles retiennent en elles plus que ce qu’elles ne peuvent endurer, elles se déchirent, morceau par morceau. »
« La vie de couple, c’est comme une longue route. La plupart du temps, elle est suffisamment large, et vous pouvez marcher côte à côte. Mais à certains tournants, cette route est si étroite, tel un sentier, que ce passage doit être parcouru seul. Certains enseignements se doivent d’être appris dans la solitude, pour qu’au bout du chemin… Enfin… C’est à vous de le découvrir. Je ne peux pas vous raconter la fin… »
Il en était de même que le premier contact d’un café ardent contre des lèvres sensibles; le tout était de parvenir à vaincre le choc initial.
Elles devenaient silencieuses et glissaient contre les murs telles des ombres fuyant les corps qui leur donnaient vie.
« Ce n’est pas le cœur qui anime l’être, mais bien l’esprit. Toute l’immensité des connaissances et la complexité des émotions s’y entremêlent. Un véritable labyrinthe pour celui qui ne sait y naviguer. »
Écorchures, blessures, toutes lésions s’étaient résorbées, évaporées dans l’air, diluées dans l’eau, cicatrisées dans le cœur.
« La descente est accessible à tous, mais pour monter… il faut avoir un esprit de vainqueur. »
« Pensez bien depuis longtemps les voyageurs considèrent que l’hôtel dans lequel ils séjournent n’est qu’un point d’appui, et la véritable destination en est autre. Moi, j’estime que ma maison d’hôtes est, en quelque sorte, une destination en elle-même. »
Il s’agissait peut-être de la douceur du jasmin, ou simplement la fatigue après une journée bien remplie, qui permettait à ses pensées non associées, pourtant simultanées, de se confondre en un nuage soyeux de clairvoyance et de confusion à la fois.
Un grand arc-en-ciel semblait former le moteur de son inspiration. Elle lui rendit justice en reproduisant avec ardeur chacun de ses sept coloris qui, ensemble, formaient un pont vers l’épicentre de son imagination.