Le commissaire met dans un coin de sa tête qu’il a toujours la ressource de s’inspirer au moment de l’enquête du Crime de l’Orient-Express, d’Agatha Christie, où tout le monde est coupable. Dans le roman, l’écrivain leur pardonne mais ce n’est pas parce qu’il a été élevé dans une institution semi-religieuse (lui, par exemple, était plus ou moins dispensé des cours de catéchisme et l’institution était mixte) qu’il devrait faire comme elle.