On pouvait donc être fort surpris des extraordinaires mensonges du Comte d'Orgel, destinés à souligner sa gloire certaine. Mais pour lui mensonge n'était pas mensonge ; il ne s'agissait que de frapper l'imagination. Mentir c'était parler en images, grossir certaines finesses aux yeux des gens qu'il jugeait moins fins que lui, moins aptes aux nuances.