ça faisait des années que les filles de la classe s'en faisaient voir de toutes les couleurs à l'école, avant que Sal me laisse tomber et que je sois vraiment obligée de le remarquer. Elles se piquaient leurs meilleures amies, déterraient la hache de guerre, pleuraient, se rendaient leurs amies, passaient des marchés, se sautaient dans les bras en couinant pour bien montrer qu'elles étaient folles de joie, et patati, et patata. (p.48)