Un père de famille : Mais ton travail, ça ressemble un peu à de la sorcellerie, non ? Je m'attendais plutôt à voir débarquer une petite vieille toute ridée. Tu comprends ma surprise en voyant arriver une adolescente. Surtout quand elle est aussi jolie que toi. De longs cils, une poitrine opulente... Je parie que les garçons n'arrêtent pas de te reluquer pendant les cours de sport.
Reiko : Je trouve votre comportement peu digne d'un père dont la fille vient de se défenestrer. Sans mobile apparent, qui plus est. Même vous, parents, n'avez pas d'idée ?
Le père : Pas la moindre... C'est bien pour ça qu'on fait appel à toi. ENFIN MA FEMME !
Monsieur Tôjô : On ne joue pas avec les morts.
Reiko (tenant un chien mort à bout de bras) : Monsieur Tôjô... Vous le voulez comme cobaye ?
Monsieur Tôjô : On dirait que tu ne m'as pas compris. Les morts profanés punissent toujours leur bourreau. Toi en l'occurrence.
Reiko : Monsieur... Vous voulez parler de mon travail ?
Monsieur Tôjô : Tu penses bien qu'un professeur de biologie ne peut pas croire à cela... Tu ne devrais pas profiter de la crédulité des gens.
Mourir... ne me fait pas peur un seul instant. Quand cette tarée m'a foncé dessus, tout ce que j'ai ressenti c'est une énorme lassitude. Mais quand elle m'a planté, j'ai compris une chose. C'est que... Y'A UNE GROSSE DIFFÉRENCE ENTRE MOURIR ET ÊTRE TUE !
- Inutile d'avoir peur, Mitsuyo ! Je suis là pour te protéger. Je suis forte, tu sais !
- Je veux pas... Tu me fais peur. Tu tue les gens et après tu rigoles... J'te déteste...
Une mère de famille : Pourquoi s'en prend-elle à mon mari !!
Reiko : Une profonde aversion pour les abrutis, sans doute !
Prof, si je vous ai abandonné, ce n'est pas par solidarité pour Kisaragi. Mais me confier un travail sans me dire toute la vérité... c'est une violation de contrat.