Dans une oeuvre picturale, le sujet réel n'est en somme que le prétexte; ce qui compte, c'est l'émotion que sa contemplation suscite en nous. Une photographie est considérée comme "artistique" quand elle procure à celui qui la contemple un plaisir visuel, généralement accompagné d'une certaine émotion. L'artiste a alors atteint son but : communiquer ses pensées et ses propres sensations au spectateur par le seul truchement du "langage de l'image".
Grâce aux performances du reflex, de ses objectifs et de ses films, la photographie argentique restera longtemps l'outil privilégié de la création artistique. Mais le numérique existe bel et bien, il progresse et il serait vain de l'ignorer.
Les premiers reflex pesaient, avec leur objectif normal, environ un kilo.
Puis vinrent certains modèles compacts pesant 300 à 400 grammes de moins, toutes les dimension étant notablement réduites.
On est revenu à peu près au même point qu'autrefois avec les reflex "haut de gamme" d'aujourd'hui, mais ceux-ci incorporent de plus le transport motorisé du film, la mise au point automatique (autofocuse ou AF) et sont souvent équipés d'un objectif zoom.
Cette fois-ci cependant, la célèbre firme japonaise commercialise un appareil vraiment révolutionnaire. Nous voulons dire par là qu'il est complètement nouveau par tous ses organes et l'étonnant développement technologique de chacune de ses fonctions.
Maniabilité
Un reflex 24x36 mm "type" pèse moins de 1000 g avec son objectif normal; il mesure environ 142 mm de long, 92 mm de haut et 90 mm de profondeur. il est donc facile de l'employer à la main et il peut accompagner le photographe en tous lieux.
Sur quelques appareils - Minolta en particulier - existe un levier (ou un bouton) de surimpression qui débraye le rouleau denté d'avancement du film et permet donc d'armer indépendamment, autant de fois que nécessaire.