Et reprit sa pose de femme du harem. Confitures, gâteaux secs, berlingots, sucettes, morceaux de sucre, tout lui convenait. Elle n’arrivait pas à empâter le rose frêle de son visage, la courbe, le vol de ses épaules, le fini de ses hanches. Elle se payait les plus belles jambes de Paris et la poitrine la plus tonnerre de l’arrondissement.