Jean Genet me parle à l’oreille de ma jeunesse sur les routes poussiéreuses d’Espagne ou glacées du Monténégro. Genet est le reflet de chacun de nous, sa solitude s’enfonce dans des villes et d’inavouables secrets où personne encore n’a eu le courage d’aller. Et puis j’ai une profonde tendresse pour les écrivains qui ont été des vagabonds.