Il s’agit, ni plus ni moins, d’une tentative de supplanter définitivement la nature (extérieure et intérieure à l’homme), d’éliminer cette dernière résistance à la domination du rationalisme technologique. Une « raison » qui veut ignorer – et ici supprimer pratiquement – tout ce qui n’est pas elle, c’est, je crois, la définition minimum du délire.