Dans le son des cloches du temple de Gion résonne l'impermanence de toute chose. Dans la couleur des fleurs des arbres sâla s'illustre l'inéluctable déchéance des puissants. Les arrogants ne durent pas, semblables à un rêve par une nuit de printemps. Les valeureux aussi pour finir disparaissent, tout comme de la poussière emportée par le vent.