Tour à tour présenté comme un Robespierre ou le Jean Moulin et même le Mao Tsé-toung africain s'il avait survécu à la guerre, Abane Ramdane reste peu ou mal connu. Cela n'est pas fortuit. Une véritable conjuration du silence en a fait l'oublié, voire l'"évacué" de la révolution algérienne. (p.13)