Après ça, le bureau et la maison sont devenus deux continents séparés par un océan, qui s'éloignaient inexorablement l'un de l'autre. Pendant un temps, j'ai réussi à garder un pied sur chaque, mais à la fin je sautais de l'un à l'autre. Ce n'était pas un choix conscient, pourtant j'ai laissé mon foyer partir à la dérive, et je n'ai rien remarqué avant qu'il ait disparu.