Enfant, je ne pouvais pas m'identifier à ma mère, à ma grand-mère, à mes tantes ou aux amies de ma mère. Un petit groupe plutôt malheureux. Notre maison était étouffante. Un espace renfermé avec peu de liberté, peu d'intimité. Je ne voulais pas devenir, comme elles, les gardiennes du foyer, je voulais le monde et le monde alors appartenait aux hommes.