Le cinéaste américain David Lynch avoue passer des heures devant les tableaux de Hopper pour essayer de savoir ce qu'il va se passer ou ce qu'il vient de se passer ! (...) Tous deux puisent dans le même fond d'images stéréotypées de l'Amérique. Dans "Blue Velvet", par exemple, le film commence par une succession d'images à la Hopper. La caméra capture l'atmosphère paisible d'une ville américaine (...) Seulement, comme chez Hopper, cette vision calme et lisse révélera quelque chose de beaucoup plus étrange...
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