AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de Revue Galaxies (17)


Revue Galaxies
— … il y a bien assez de place pour tout le monde dans l’univers, prêchaient les tenants de cette philosophie. La guerre est une monstrueuse absurdité qui va contre les desseins du Créateur.
Mais personne ne les avait écoutés et, quand ils avaient commencé à faire du bruit et à défiler avec des pancartes, on avait mis le holà. Pour leur prouver que la guerre n’était nullement une absurdité mais une nécessité vitale, on leur avait fait enfiler l’uniforme de la Flotte de l’Espace et on les avait envoyés prêcher la compréhension mutuelle avec des armes de fort calibre. C’était une façon comme une autre de changer les mal-pensants en bien-pensants et de transformer les anarchistes en honnêtes citoyens.
Dans la nouvelle Flinguez-moi tout ça, de Daniel Walther
Commenter  J’apprécie          90
Dès 1930, les théoriciens de la politique avaient commencé à comprendre que toute démocratie, étant un gouvernement d'opinion publique, est en réalité aux mains de ceux qui font l'opinion publique, c'est-à-dire des propriétaires de journaux. Dans tous les pays, de grands industriels, de grands financiers s'étaient efforcés d'acquérir les journaux importants et y avaient peu à peu réussi.
Très adroitement, ils avaient respecté les formes extérieures de la démocratie ; les peuples continuaient à élire des députés, ceux-ci à faire des ministres et des présidents, mais présidents, ministres et députés ne pouvaient durer qu'en acceptant les directives des maitres de l'opinion publique. Ils le savaient et se montraient soumis.
Guerre contre la Lune, de André Maurois
Commenter  J’apprécie          90
La politique est une saleté. Il n’y a pas de société idéale. Il n’y a pas de solutions sociales aux problèmes humains. Il n’y a que des compromis. Il n’y a que des sociétés un peu moins mauvaises que d’autres.
Barjavel
Commenter  J’apprécie          40
Je n’ai qu’un très vague souvenir des championnats de France de football, je ne me suis jamais passionné pour le Tour de France, ni pour aucune compétition sportive, mais je connaissais à la seconde près le temps passé dans l’espace par chacun de ceux et de celle (celle était au singulier) qui avaient connu l’ivresse de l’apesanteur.
Pierre Gévart, édito
Commenter  J’apprécie          40
Quand j'ai eu seize ans, je me suis mise à écrire mon journal. Dans un beau cahier bleu, épais comme un livre. Il commençait par ces mots : « Parce que j'ai nom Espèrange... » Car j'aimais mon prénom Il évoque l'espoir ; il rime avec ange et avec étrange

Extrait de « Entre parenthèses » de Christine renard
Commenter  J’apprécie          30
Installé sur un banc de bois et fer forgé rescapé de la gare d'origine, il contemple un arrangement végétal aux teintes harmonieuses en respirant la délicate fragrance de l'acacia en fleurs. Une branche de mimosa vient lui caresser les oreilles. Dans ce lieu paradisiaque, toutes les économies faites ailleurs sur l'énergie – le chauffage, l'éclairage – sont en partie restituées pour le confort des plantes et des visiteurs. Au jardin, c'est le printemps. Les saisons sont déclenchées artificiellement grâce à un savant dosage des quatre facteurs température, humidité, lumière, engrais.

Extrait de « À l'ombre de l'arbre rouge » de Christine Brignon
Commenter  J’apprécie          20
Personnellement, je pense que le jeu de rôle est un outil d’éducation très puissant. Le jeu de rôle permet d’explorer des thèmes, des problématiques… Je suis toujours surprise en constatant que le jeu de rôle reste peu présent dans les écoles.
Sarah Newton
Commenter  J’apprécie          20
Mellune observe le groupe de loin. Ses poings forment des bosses éloquentes dans ses pantalons. Mais aucune poche n’est assez profonde pour y enfouir toute la haine et le mépris qui la font trembler.
Tinkerbelles, de Michèle Laframboise
Commenter  J’apprécie          20
Sa tâche était très simple. Des colonies de nombreuses espèces chimiotrophes à croissance longue avaient été introduites dans une portion du récif riche en soufre et métaux ferreux. On avait provoqué des milliers de mutations aléatoires. La plupart des colonies étaient mortes, et on avait prélevé des échantillons sur le peu qui avaient prospéré pour les faire muter avant de les réintroduire en un cycle qui se répétait tous les cent jours.

Paul J. McAuley - Récif
Commenter  J’apprécie          20
Revue Galaxies
La nostalgie l’étreint. C’était le bon temps. Celui de la gloire, de la belle vie et du devoir accompli. De la racaille enfin nettoyée au Zyklon B.
Dans la nouvelle C’est pour Demain, de Bruno Pochesci
Commenter  J’apprécie          10
Revue Galaxies
La seule chose sur laquelle on ne peut se tromper, c’est que Barjavel fut un écologiste avant la lettre, un vrai amoureux de la nature. Mais, dans son refus de l’engagement, il est toujours resté du côté « des fleurs et des petits oiseaux », et aurait sans doute entretenu la plus grande méfiance envers l’écologie politique très militante d’aujourd’hui.
Jean Pierre Andrevon
Commenter  J’apprécie          10
— Vous voulez que je vous dise, Major : ce garçon, il a du clito !
— C’est vrai qu’il faut en avoir dans le vagin pour faire ce qu’il va faire. Lieutenant, nous aurions sans doute dû essayer de le retenir, mais si jamais il en revient vivant, nous lui devrons une fière chandelle. Sans aucune allusion, bien entendu !
Ah les garçons !, de Hugo van Gaert
Commenter  J’apprécie          00
C’est dingue de voir comment quelques feuilles de papier peuvent générer autant de migraines. Ça m’a fait regretter qu’on ne soit plus à l’ère victorienne, où j’aurais pu ramener de la jungle un « indigène » sans avoir à traiter avec un millier de bureaucrates de deux gouvernements qui ne s’aiment pas beaucoup.
Nouer des liens, de Ken Liu
Commenter  J’apprécie          00
Inutile de garder des graines pour préparer les plants. Ici, il n’y aura pas de printemps.
Cristal, de Betty Biedermann
Commenter  J’apprécie          00
Dans tous les cas, dans tous les pays, on observe les mêmes phénomènes… La haine de l'ennemi est créée, puis maintenue par des récits de crimes, d'attentats, à peu près semblables dans les deux camps. L’esprit critique disparaît entièrement, le bon sens devient un vice, la crédulité un devoir. L'invention la plus invraisemblable est aussitôt acceptée par une opinion publique affolée... A un peuple irrité, on peut tout faire croire de l'ennemi...
Guerre contre la Lune, de André Maurois
Commenter  J’apprécie          00
Plus sérieusement, la confrérie zombie possède une qualité que nous avons beaucoup de mal à intégrer en tant que genre humain : la tolérance. Les zombies ne font aucune distinction, vous ne trouverez jamais chez eux la moindre trace de discrimination. Et c’est une chose dont nous, les êtres humains, ne pouvons pas nous vanter. Vous ne subirez jamais plus le racisme, l’homophobie, la misogynie, rien de tout cela. Les zombies sont purement égalitaires
Ludivine Picot, Dossier Zombies
Commenter  J’apprécie          00
Puis il rature le tout, se demandant une fois de plus comment il a pu tomber si bas. Qu’est-ce qu’il lui a pris, bordel de Sauron, de se mettre à écrire de la fantasy ? Une trilogie, en plus, pour être original ! La science-fiction et le fantastique ne lui rapportaient certes pas un kopeck, mais au moins jubilait-il en écrivant.
Zombies en Beaujolais, de Bruno Pochesci
Commenter  J’apprécie          00

Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Revue Galaxies (41)Voir plus

Quiz Voir plus

Une oeuvre = une héroïne (facile)

Spirou et Fantasio

Ambroisine
Renée
Seccotine
Aubéline

10 questions
373 lecteurs ont répondu
Thèmes : femmes , HéroïnesCréer un quiz sur cet auteur

{* *}