Il lui arrive d'être accepté au Salon, la grande exposition annuelle de Paris, mais la plupart du temps il essuie des refus car on n'apprécie guère son adhésion aux courants artistiques modernes: il suffit de penser que Gustave Courbet, l'idole de Renoir, y fut considéré comme un révolutionnaire et un saboteur de la bonne peinture !