En 187, il entre à l'octroi de la préfecture de la Seine, (d'où son surnom de "Douanier"); il y restera jusqu'au 1er décembre 1893, Il prend alors sa retraite avec un émolument de 1019 francs par mois, un somme assez modeste qui l'oblige souvent à s'endetter, mais lui permet, grâce à de petits travaux et à l'aide de ses amis, de se consacrer entièrement à l'art.