Elle disait que l’homme n’est le jouet de rien ni de personne, qu’il est maître, et donc responsable, de sa destinée. Elle affirmait que rien n’est impossible à qui veut embellir le monde,, et que seuls les médiocres se réfugient derrière l’écran de la fatalité. Elle était éperdument gaie dans son pessimisme, amoureuse de la vie qui passe et, bien sûr, déchirée parce qu’elle passe.