S’il y avait une chose qu’ils devaient éviter à tout prix, maintenant qu’ils s’apprêtaient à aborder un camp romain potentiellement hostile à bord d’une trirème grecque magique, c’était d’avoir un satyre en jogging, la cinquantaine bedonnante, qui se plante sur le pont et agite un gourdin en criant : « À mort, les Romains ! »