Je suis désolé pour mon père. Vraiment. Mais je n’ai jamais été beaucoup plus pour lui qu’une pensée après coup et une distraction. Il m’a nourri, toléré, et offert une place dans sa demeure. Ce pour quoi il mérite d’être remercié, j’imagine. Mais ça n’est absolument pas de l’amour et je ne peux pas dire que je l’aie vraiment aimé un jour.