Les pisse-vinaigre, les censeurs, les culs serrés diront qu'on ne cesse de boire dans Le Vin des rues, et que si c'est un poème, c'est celui de la misère et de la déchéance. On pourra répondre que la littérature n'a que peu de rapports avec le CAC40 et que si les élites parfois la consomment, rarement ils l'inspirent et jamais ils ne l'écrivent. (extrait de la préface rédigée par Philippe Claudel, mars 2009)