Une route ne peut pas acheminer des voyageurs si des gens refusent qu'elle soit construite. Une imprimerie ne peut pas répandre le savoir si ses lecteurs décident qu'ils préfèrent lire des mensonges. Et aucun remède n'apportera santé et joie si les malades refusent de le prendre.
Si nous nous trouvons incapables de profiter des nombreux dons que notre génie nosu accorde, je soupçonne qu'aucun bricolage ne permettra à ces dons de fonctionner comme ils le devraient. De fait, il revient aux gens de se changer eux-mêmes : se reformer, se reconfigurer, réarranger l'architecture de nos sociétés pour que tous jouissent de la prospérité et de l'abondance.