Les traditionalistes évoquent souvent avec lyrisme le « bon vieux temps », affirmant qu’ « on ne fait plus aujourd'hui de bordeaux comme avant ». En réalité, pour les bordeaux, les circonstances n’ont jamais été plus favorables, du point de vue tant climatique que financier. Mieux encore, Bordeaux n’avait certainement jamais encore connu une vinification d’aussi haut niveau ni proposé d’aussi grands vins qu’aujourd'hui.