Car les poseurs de bombes savaient que ce n'était pas de leur faute. C'était la faute de leurs ennemis, les oppresseurs qui refusaient de faire ce que les autres voulaient qu'ils fassent. Ils avaient demandé à ce qu'on les écoute. Ils n'avaient pas réussi. Ils avaient menacé d'utiliser la violence si on ne les écoutait pas. Quand cela non plus n'avait pas réussi, ils furent contraints, à leur grande répugnance, d'accomplir tous ces actes violents. De toute évidence, ce n'était pas de leur faute.
Tout ce chapitre 11, on aurait envie de le citer comme l'a si bien dit une autre babeliote.