Notre temps ne supporte plus la décomposition, les odeurs, les viandes humaines frelatées, pourrissantes, les vers, la vermine, la puanteur. La charogne. Regardons alors dans la faveur dont jouit en ce siècle la crémation, l’expression éclatante d’une passion triste, la haine de la matière. La matière répugne à l’hygiénisme, ce fanatisme de notre époque.