Diriger un enfant, c’est comme diriger un cyprès, comme diriger une nuée de grêlons qui tombent et rebondissent partout ; l’enfant ressemble à une feuille d’érable à sept heures du soir au Canada, il dit les choses comme il l’entend, il se distrait continûment, il est cependant très attentif à la moindre de mes erreurs.