Rushdie, cette fois sans l’ironie de son discours public, me dit : « Continue à avoir confiance dans les mots, au-delà de toute condamnation, au-delà de toute accusation. On t’accusera d’avoir survécu et de ne pas être mort, comme tu aurais dû le faire. Tu dois t’en foutre. Vis et écris. Les mots finissent par triompher. »