Les médicaments concernés n’ont souvent un effet positif que sur un très petit nombre d’individus. Car si les essais cliniques ont montré qu’un médicament n’était bénéfique que pour cinq pour cent des patients, cela signifie qu’il ne vaut rien pour quatre-vingt-quinze pour cent d’entre eux. Alors que les effets secondaires, eux, ne sont pas loin de toucher cent pour cent des malades. Très mauvais pari !