Les gens viennent à Athènes en pensant qu'ils vont trouver l'origine perdue. Et ils la trouvent, mais ils oublient que l'origine est le chaos, la nuit. Et ça, c'est un concept, cher frère siamois, que nous ne sommes pas préparés à comprendre. Nous, qui nous donnons de grands airs marxistes, existentialistes et autres «istes» tout pareils, nous ne sommes pourtant pas arrivés à une expression juste, exacte, profondément artistique de ce qu'est la mort.