Le seul mal, vois-tu, c'est cette exploitation de l'homme par l'homme. Il faut bâti un monde où cette exploitation ne sera plus possible. Un monde où les richesses, qui sont indûment détenues par des organismes parasitaires comme vos grandes industries et vos grandes banques, seront remises en circulation, pour que toute la communauté humaine en profite. Aujourd'hui, le pauvre bougre qui produit a tellement de mal à s'assurer le minimum indispensable à sa subsistance, qu'il n'a ni le temps, ni le courage, ni même le goût, d'apprendre à penser, à se développer, dans ses possibilités humaines.