Un jour, beaucoup plus tard, j’ai retrouvé le vieil écrivain. Il avait encore sa moustache.
Mais pas son cheval.
Le temps avait passé, le succès était-il toujours au rendez-vous ?
Assis sur un banc, il voyait encore les choses d’en haut car il écoutait son chien assis à ses pieds.
Il agitait son chapeau et le remplissait, peut-être, avec des histoires de croquettes ou de chasse au renard ?
Finalement, c’est utile un chien, même pour un écrivain.