Quand l’auteur du crime parfait est un être humain, le plus souvent (même dans les romans policiers) il finit par être découvert et puni. Mais quand l’assassin est une maison, le crime devient alors plus-que-parfait, puisque personne - ni la police, ni les magistrats, ni les urbanistes, ni les architectes, ni les médecins, ni le gouvernement, ni le grand public, ni la presse, ni la télévision, ni les victimes elles-mêmes!