J’ai perçu le monde, dans sa réalité, tel qu’aucun humain ne l’a jamais vu. Il est un torrent rugissant, imprévisible, sans cesse changeant. Il court vers sa propre fin, inconscient et joyeux, comme une sphère pleine d’elle-même, et qui ne voit ni n’entend alors qu’elle roule vers l’abîme. L’existence n’est que devenir et transformation.