Le plus pénible dans le métier de Pierre Besombes, ce sont les suicidés. Seul – toujours seul – en face du corps, on se pose automatiquement la question du pourquoi. Surtout qu’il s’agit souvent de gens en bonne santé, qui semblaient bien dans leur peau. Et en les regardant morts, on ne sait toujours pas le pourquoi de leur mort. Le vrai pourquoi. Cela provoque de méchantes angoisses.