… une tête rasée ! Et saignotante, en plus, les coiffeurs -qu’ils soient professionnels ou volontaires – n’y allaient pas de main morte, en climat d’« épuration ». On cisaille à vif et en vitesse ! Sous les rires, les lazzis, les huées de la foule exultante, et les injures les plus vulgaires, les plus dégueulasses… On peinturlure les joues, le front, de svastikas.