Si, enrichi par ces réflexions, l’homme contemple la nature, il peut arriver à s’oublier lui-même et tout ce qui est en lui, et éprouver son corps comme une portion du monde extérieur. S’il médite ainsi sur les rapports de, son être intime et sur ceux qui le relient à la nature, il acquiert en lui-même la connaissance de ce que l’on peut appeler son corps physique.