J'ai conscience de n'avoir jamais fait intervenir mes inclinations personnelles dans la description des mondes spirituels, et de m'être toujours conformé à la nécessité inhérente au sujet traité. C'est pourquoi je peux, avec toute l'objectivité requise, restituer la manière gauchement enfantine avec laquelle je justifiais par la géométrie mon besoin de parler d'un monde «que l'on ne voit pas».