Puis, du coin de l'oeil, j'ai remarqué sur ma droite une silhouette qui, du square, entrait dans l'impasse : un individu de grande taille, sombre, courbé d'une façon familière et qui titubait sans rime ni raison de gauche à droite en suivant l'étroite ruelle en direction du café. C'était Djinn : instantanément, la fascination et la peur que j'avais éprouvées autrefois se sont abattues sur moi comme une sorte de lourd manteau.