Je m’étends sur ceci et m’y attarde à seule fin que le lecteur sache que moi aussi j’ai affronté ces forces de la vie qui pourraient abâtardir et détruire notre foi, que moi aussi j’ai traversé le désert aride de ma propre faiblesse et suis parvenu aux montagnes de l’autre côté et ai enfin escaladé ces montagnes. J’ai enduré, comme tout homme peut endurer, pour peu seulement qu’il le veuille.