Trop de militants écologistes sous-estiment la résilience de l’être humain. Et je crains que leur cynisme ne fonctionne comme une prophétie autoréalisatrice, un nocebo qui nous décourage, et qui ne fasse qu’accélérer le réchauffement de la planète. Le mouvement pour le climat a lui aussi besoin d’un nouveau réalisme. (page 156)