Et, je suppose, j'ai toujours envie d'être la dame de Carnhallow : la maîtresse de cette magnifique et romantique demeure, où les sorbiers et les tamaris mènent à l'écume laiteuse des vagues de notre petite crique. La belle histoire de ma trajectoire sociale, depuis les bas-fonds de Londres jusqu'à cet endroit, me fascine moi-même. Je ne veux pas retomber dans la médiocrité. La pauvreté. Prendre des bus qui traversent des quartiers déshérités pour regagner un studio même pas dans mes moyens.