« On ne doit pas punir les coupables, mais protéger les innocents ». C’était un concept que je pouvais comprendre. Rendre justice soi-même n’était jamais souhaitable, ni vraiment profitable. Mais parfois, on n’avait guère le choix. Il arrivait que la barrière entre « protéger » et « punir » soit relativement mince, voire inexistante. Alors, on avait deux options : bien ou mal. Pardonner ou châtier. Blanc ou noir.